Malgré un été très mitigé, avec des coups de chaleur, des coups de froid, des orages aux fortes pluies, des vents forts, les fleurs du jardin ont gardé le cap et donné le meilleur d'elles-mêmes. Un petit bilan s'impose en cette fin de mois d'août plutôt désagréable sur le plan météo....

Entre annuelles et vivaces, le jardin a été relativement fleuri et si la pluie détériore les fleurs épanouies, elle profite néanmoins aux plantes dans leur ensemble.

Je vous invite à un petit tour dans les allées de notre petit jardin, au cours des deux derniers mois...

  

 Vers le portail d'entrée...

Au premier plan, petite association Géranium zonale et Impatiens :

 

  

En transparence, les Agapanthes  :

  

 

Sous le bouleau pleureur, les potées d'Impatiens, Lobelias et Pétunias ont bénéficié de la mi ombre et de la protection du feuillage

  

  

 

En juillet, pas mal d'Agapanthes, certaines en pots, d'autres en plein terre, ont fleuri avec abondance :

Ce sont des fleurs qui deviennent "très tendance", ici du moins, les "Espaces Verts" de la Ville en regorgent ! Grâce sans doute à leur grande tige florale au graphisme très contemporain...

  

Dans notre jardin, elles se sont installées depuis de nombreuses années déjà.

Fleur de "Navy Blue" en bouton...

et puis, ouverte !

  

Cette espèce au bleu assez intense n'a donné qu'une fleur cette année, petite déception...

  

Depuis deux mois, les Phlox aux couleurs vives  animent en compagnie des Lys Casablanca blanc, l'allée qui longe la maison

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous sommes à présent dans la partie du jardin située derrière la maison...

Une cascade de fleurs dégringole sur la petite terrasse ronde :

Verveine, Pétunias doubles, Brachycome multifida, Pétunias Terra Cotta, Impatiens, se mêlent dans un joyeux mélange

  

A contre-jour, un grand Lis African Queen jaune :

 

 

Le Pétunia Rosy Ripple, nouveauté de cette année, se plait bien dans cette potiche. Son coloris bicolore fait écho aux Phlox que l'on devine dans le massif de gauche.

Ses fleurs durent peu et je les coupe régulièrement pour permettre aux suivantes de s'épanouir...

Au-dessus, une suspension avec les mêmes fleurs :

Cet Hortensia issus d'une bouture offerte en cadeau ajoute sa note colorée à l'ensemble...

 

 Sous le noisetier-HLM des mésanges, des Impatiens bicolores et blancs :

 

Voici quelques Fuchsias dont la floraison reste assez modeste car certains ont résolument décidé de ne pas se fatiguer !

Le courageux "Tom Pouce" :

 

Le Fuchsia "Magellanica Versicolor" au feuillage vert un peu glauque marginé de crème :

 

 

Un bicolore dont j'ignore l'identité, toujours fidèle au poste, très florifère et rustique :

 

 

Puis "Lady Patricia Mountbatten", non rustique, mais au tendre coloris:

 

 

 "Clair de Lune" un bicolore tubulaire et lumineux :

 

 

Enfin le grand Fuchsia arbustif et rustique "Magellanica Var. Molinae" (2 m de hauteur environ)

  

  

Je vais arrêter là ce tour d'horizon des fleurs d'été afin de ne pas lasser mes sympathiques lecteurs !

Si le temps s'y prête, septembre devrait permettre la poursuite de ces floraisons auxquelles vont se joindre les Anémones du Japon qui débutent, puis les Asters et les Sédums. Mais ce sera l'objet d'un prochain article un peu plus tard...

Très bonne fin de semaine à tous et à bientôt

Bises de Shuki

  

 

Mon micro-potager de 4 m2 ( sourire ! ) n'est en mesure de produire que des tomates, un peu de salade au printemps et quelques aromates, mais cela fait tout de même plaisir de se régaler de ses récoltes, si modestes soient-elles....

  

Voici quelques photos des productions de cette année  prises dans l'ordre chronologique...

  

8 Juin 2014 :

La laitue feuilles de chêne à couper bat son plein et remplit nos assiettes avec des fines herbes à gauche et ce pour plusieurs semaines...

 

25 juin  2014 :

 

Les tomates, plantées un peu tardivement (le 24 mai) ont maintenant un mois sur ce cliché.

  

Mais que je vous conte plutôt mes mésaventures de jardinière-potagère !

J'avais fait comme d'habitude, des semis avec les graines récoltées l'année précédente : Noires de Crimée, Roses de Berne et tomates-cerises. Les pieds étant peu développés, j'ai pensé que poser des cloches sur les plants accélérerait le processus de croissance...

Grossière erreur !

En 24 heures mes tomates étaient devenues toutes blanches ! Choc thermique, maladie, j'étais perplexe ! D'autant que les cloches enlevées, les feuilles sont tombées sauf les terminales. J'augurais mal de l'avenir de mes tomates en cette fin de Mai...

  

Mais, comme vous voyez plus haut, un mois plus tard, elles étaient bien remises de leurs émotions... et commençaient à fleurir :

 

  

Encore un mois plus tard...

le 27 juillet 2014,

les fruits sont bien formés et bien verts aussi...

 

Rose de Berne

 

Tomates-cerises

Noire de Crimée

  

Mon impatience me les faisait scruter tous les jours, guettant un changement de teinte chez ces dames... mais il a fallu attendre encore une ou deux semaines, soit :

le 7 Août 2014

pour voir les premières tomates-cerises rougir un peu...

Pour les autres, encore de la patience... jusqu'au :

 13 Août 2014

Les premières Noires de Crimée avaient tellement pris d'embonpoint que leur peau commençaient à se fissurer !

C'est alors qu'un coup d'œil sur les potagers voisins ont commencé à me faire craindre le pire !

Le pire ? le fameux mildiou de triste renommée !

Comme je n'avais que très faiblement traité mes plants à la bouillie bordelaise en début de plantation, je me faisais du souci en voyant les tomates voisines griller joyeusement sur pied !

Il fallait prendre d'autres mesures afin de contrer l'avancée du champignon, c'est-à-dire vaporisation de bicarbonate de sodium additionné de Savon de Marseille liquide à l'huile d'olive, ce dernier produit (compatible avec l'agriculture biologique), trouvé dans une jardinerie du sud l'an dernier.

Ce traitement n'est pas curatif, il modifie seulement le PH de la plante en l'alcalinisant, ce que n'aime pas du tout le mildiou...

J'ai aussi taillé les feuilles qui commençaient à jaunir où qui s'abîmaient un peu.

Résultat, aujourd'hui nous mangeons des tomates matin, midi et soir ! Enfin, non, pas le matin, quoique...

  

Voici les photos du jour !

22 Août 2014 :

 

 

 

 

Parmi mes pieds de tomates, un plant qui a poussé spontanément, a donné ce type de fruit, très gros, dont j'ignore le nom :

  

  

A ce propos, si quelqu'un parmi vous connait l'identité de cette tomate, cela m'intéresse...

Merci d'avance les amis !

 

  

et pour finir, la récolte du jour :

 

  

Certains plantent des œillet d'inde au pied de leurs tomates, moi je préfère semer des soucis (calendula) dont j'éparpille les pétales sur mes salades, joli et bon !

 

  

 Sur ce, belle fin de semaine à tous,

et mes amitiés jardinières....

Shuki

  

 

 

 

 

 

 

Je m'aperçois que je n'ai pas parlé cette année de notre petit jardin niché dans le "grand" jardin...

Il faut dire que les choses ne bougent pas beaucoup dans ce secteur.

Pourtant, cette année,  il a fallu prendre de sévères mesures à l'encontre de l'Aralia qui s'est trouvé attaqué par un champignon ... Dommage, car ses belles feuilles palmées protégeaient bien de leur ombre les plantes basses installées à son pied : fougère, astilbe, petit rhododendron...

  

Pour mémoire, voici une photo de 2011 époque où cet arbuste était encore magnifique ! A comparer avec la dernière de cette année au bas de l'article... Ce trou dans la végétation haute me gène un peu tout de même...

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

Suite à ce remaniement, début avril 2014,  l' Hebe dorée devenue trop encombrante à l'avant du massif, a pris la place de l'Aralia :

 

... tandis qu'une autre Hebe de petite taille nommée "Boule verte", s'est installée près de la lanterne. Tant qu'elle gardera ce volume, elle restera à cet endroit:

 

 

Ces travaux furent réalisés juste avant l'épanouissement de Dame Pivoine arbustive qui a profité de l'espace libéré pour s'étaler en éventail !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Puis les azalées ont ensuite entamé leur floraison. Cette période de l'année est celle  que je préfère bien qu'elle soit très éphémère :

 

                                                                                                                                                                                            

                                                                                          

                                                                                             

 

 

 

 

Très belle semaine à tous que l'on espère ici un peu plus estivale ! 

Bises de Shuki

 

 

 

 

 

 Il y a quelques jours, je vous ai conviés à une balade dans le jardin romantique de La Pellerine situé en Mayenne.

Jardin de la Pellerine - 1ère partie

  

Voici la suite de cette visite que pour ma part j'ai beaucoup appréciée...

  

Suivons la flèche de la girouette :

  

Si le ciel nous avait épargnés le temps de parcourir les allées et terrasses fleuries, il n'en a pas été de même lorsque nous avons pénétré dans le sous-bois où une belle averse nous attendait ! Pas de chance...

  

Très vite, j'ai aperçu une allée mystérieuse qui m'attirait pourtant bien et un banc tout mouillé qui me tendait les bras, mais je leur ai dit : "désolée, je décline !"...

 

 

 

 

D'autant que la visite était loin d'être achevée....

  

En croisant une baignoire en zinc, j'ai pensé qu'avec la douche çà suffisait !

 

Nos pas nous ont alors conduits devant la maison, sa terrasse  et un joli salon tout bleu où l'on imagine des repas agréables...

  

A cet endroit, le regard découvre une perspective en pente douce vers le jardin anglais,

 

Un coup d'œil par-dessus l'épaule et la maison se dessine dans son écrin de verdure :

 

La pluie s'incrustant obstinément, une halte à l'abri s'imposait à ce moment-là et c'est dans une jolie gloriette rétro où s'invite la végétation, que nous avons attendu une accalmie...

A travers les vitres humides, le jardin blanc et son  bassin avec un bel ensemble de grimpantes au fond...

 

S'il avait fait beau, je me serais volontiers attardée à cette petite table pour profiter de cet endroit où j'imagine, il doit faire bon se détendre et rêver ....

 

Mais nous avons préféré poursuivre vers le jardin anglais et ses opulents massifs fleuris...

 

 

 

De grands massifs, ou mixed-borders, longent un plan d'eau que l'on devine à gauche :

 

Ces feuillages sur lesquels se détache une silhouette d'échassier, nous mènent aux abords du plan d'eau...

Un vieux pont, que l'on ne franchit pas, 

et une immense ombellifère qui  balance doucement ses têtes de dentelle blanche, au-dessus de l'eau :

 

 

 

On entre alors dans la dernière partie du jardin, plus récemment créée (si je me souviens bien !), où un autre bassin rectangulaire accueille sur ses berges de très nombreuses plantes de zone humide (gunneras, iris, arums, hostas, astilbes....)

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                                                  

 

 

Ces iris japonais (kaempferi ou ensata) apprécient les sols humides mais pas submergés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une surprenante grenouille aux yeux turquoise nous observe....

 

 

 

 

Pas mal comme abri, les feuilles de Gunnera... 

  

  

  

  

  

 

 

 

Au bord de l'allée, je croise de magnifiques épis mauves érigés qui appartiennent je pense, à des Véronicastrum. Belle association de forme et coloris avec les Astilbes roses :

 

 

Plus loin une belle tache lumineuse de fleurs blanches au cœur d'or, me font penser à des pavots :

 

 

Retour ensuite vers le grand plan d'eau, avec un autre point de vue sur la maison presque perdue, loin dans la végétation...

 

 Dernière surprise, une fontaine tapie dans les fougères où la tête d'un faune, réplique de celui de la gloriette, se penche sur une coupe de lentilles vertes :

 

 

 

 

Cette grande promenade s'est achevée  ici,  près de l'accueil, et bien à regret que nous avons quitté ce site superbe, création de Monsieur et Madame Douinot à qui j'adresse tous mes compliments pour le charme et la poésie qui se dégage de l'ensemble de leur jardin aux ambiances si diversement sereines et romantiques... 

  

Bon samedi d'été à tous,

mes amitiés jardinières

Shuki

 

 

 

Quand le soleil veut bien briller (rarement cet été !) les insectes sortent de leur cachette et en profitent pour butiner, se restaurer... ou pratiquer d'autres activités !

On voit souvent des punaises dans le jardin, surtout sur les framboises qu'elles adorent, des vertes, des brunes, mais celle-ci je ne l'avais jamais rencontrée :

 

Il s'agit de la Punaise verte ponctuée (Nezara viridula) que l'on trouve sur les tomates parait-il.

  

Sur les fenouils, les guêpes fourmillent,  des communes rayées de noir et jaune :

et également une Guêpe noire, jamais rencontrée non plus dans le jardin :

Sur les mêmes fenouils, les Coccinelles cohabitent avec les araignées mais elles devraient se méfier de leurs pièges...

 

Un phasme vert pâle se cramponne à une feuille de rosier. Cet insecte tente de se confondre avec son environnement en pratiquant une sorte de mimétisme (homochromie : même forme, même couleur), le mettant ainsi à l'abri de ses nombreux prédateurs (oiseaux, rongeurs, insectes divers) :

 

Là, un Bourdon terrestre tente d'escalader les fleurs d'Agapanthes 

Pas facile la face nord, il faut de l'entraînement ! 

Ce bourdon-là, couvert de pollen, se gave de nectar au cœur de la fleur...

Le saviez-vous ?

Le Bourdon terrestre n’est pas le mari de l’abeille ou de la guêpe ! On trouve d’ailleurs, à la tête de la société, une reine bourdon ! Avec cette dernière, il n’est pas étonnant que chez cet insecte qui mesure entre 11 et 23 mm, ce soit les femelles les plus grosses !

Le bourdon se rencontre dans pratiquement tous les habitats pour peu qu’ils abritent des plantes à fleurs, dont il se nourrit du nectar. Les bourdons sont les rois du butinage et accèdent à de nombreuses fleurs, grâce à la grande fréquence de leurs battements d’ailes : 100 battements par seconde !

Ce bourdon passe l’hiver en colonie dans une cavité, souvent un vieux nid de souris ou de campagnol, au sein de laquelle seules quelques femelles parviennent à survivre. Dès les premiers beaux jours, les femelles survivantes sortent et vont fonder de nouvelles colonies. Ils sont aussi capables de sortir de leur cavité en plein hiver pour peu que les températures le permettent. Ils possèdent des facultés étonnantes comme celle de pouvoir retrouver leur nid à plus de 10 km de distance, sans jamais se perdre !

Pourtant, attention à l’utilisation massive des pesticides, car la fin des hyménoptères rendrait la pollinisation délicate !

(Source : Arnaud Horellou chef de projet du ZNIEFF, Muséum d'Histoire Naturelle)

 

Les abeilles, peu nombreuses cette année, profitent tout de même des agapanthes dont les fleurs cet été, ont été très vite abîmées par les intempéries....

 

  

Il est évident que plus d'ensoleillement nous permettrait d'observer davantage d'insectes, comme ces jolies libellules qui ne viennent qu'à ce moment-là :

 

 

 Ah, j'oubliais une bestiole qui elle, ne vole pas, mais se laisse apercevoir à la nuit tombée, en montrant la partie phosphorescente de son abdomen, je parle du ver luisant. Ceci dans l'espoir d'attirer les mâles, les lucioles,  volant à sa recherche.

Contrairement aux saisons précédentes, cette fois-ci nous n'avons trouvé qu'un seul ver luisant dans le jardin. Là, elle s'accroche au mur de la maison :

 

 

 

La floraison prochaine des asters et des sédums permettra peut-être d'observer d'autres espèces d'insectes, notamment des papillons, du moins je l'espère...

  

Bon week-end de 15 Août à tous, et merci d'avance de vos visites

Bises de Shuki

 

 

 

Voici quelque temps, je vous ai proposé la visite des Jardins des Renaudies, en Mayenne.

Mais je gardais sous mon coude gauche une autre balade que les passionnés de jardins se doivent d'effectuer un jour ou l'autre tellement le plaisir de parcourir les allées de la Pellerine est intense...

Fin juin, il ne faisait pas très beau, les orages menaçaient dans la région de Fougère, mais cela ne nous a pas arrêtés le moins du monde ! Par ouï-dire, je savais que le Jardin de la Pellerine valait le déplacement, alors tant pis pour la pluie !

Personnellement, j'aime tous les styles de jardins cependant, j'ai un petit faible pour les jardins romantiques et raffinés et là j'ai vraiment été comblée...

Mais je cause, je cause, voyons plutôt les photos !

Au bord d'une toute petite route bordée de tilleuls (en fleurs ce mois de juin.... je vous laisse imaginer le parfum !), l'entrée du Jardin de la Pellerine, classé à juste titre de "Jardin remarquable" :

 

L'accueil, en l'absence de la maîtresse des lieux, est assuré par un adorable chien, prêt à vous faire autant de câlins que vous voulez...

Après les caresses, petite hésitation, par où se diriger ? Longer le logis 17ème ou bien s'engager tout de suite dans l'escalier qui mène au labyrinthe des chambres de verdure...

 

 

Trois pas à droite, deux en arrière puis demi-tour et encore à droite toute...( pas grave si on ne suit pas le plan à la ligne près...)

Des marches fleuries mènent au grand bassin aux nénuphars avec en perspective une sorte d'aqueduc en topiaire :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une fois franchie l'arche centrale de "l'aqueduc", une allée à droite nous dirige vers les terrasses où alternent massifs de vivaces foisonnantes et buis en topiaire qui fixent le regard et séparent les chambres de verdure.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette jolie gloriette bleue est assaillie par une délicate clématite rose... 

Puis le regard se perd dans l'allée voisine vers deux conifères taillés en cônes...

Cette petite cabane est véritablement noyée sous des avalanches de fleurs aux harmonies très douces...

 

 

 

 

 

 

 

Les hémérocalles surgissent çà et là dans les plates-bandes comme autant d'étoiles délicates...

 

 

 

 

Le jardin est ponctué d'objets décoratifs anciens ou d'éléments de ferronnerie qui, je trouve, contribuent à la mise en valeur les plantes tout en ajoutant au charme des lieux...

Au premier plan, des acanthes fleuries...

Abordons à présent un grand tapis vert bordé de vivaces... ici à droite :

Sur le fond vert foncé d'une haie étroitement taillée, la grande urne baroque attire le regard...

 là, vue sur le mixed border de gauche...

puis vue d'ensemble :

Une bien belle réalisation....

...Sur laquelle je vais interrompre cette première partie de visite. Les deux hectares cinq de ce jardin ne peuvent être contenus dans un seul et unique article, c'est pourquoi je vous donne rendez-vous pour la suite très bientôt...

Bonne semaine à tous,

Shuki